Sécurisé et simplifié : le paiement mobile est un booster du e-commerce

En 2027, la valeur des paiements sur mobiles, validée par la biométrie, atteindra 1,2 billion de dollars dans le monde, rapporte Juniper Research. Soit une augmentation de 365 %* par rapport à 2022. Une estimation qui n’a rien de surprenant au vu de l’évolution des smartphones qui possèdent quasiment tous aujourd’hui un système de reconnaissance faciale et/ou un scanner d’empreinte digitale. 

Rappelons au passage que sous l’effet de la nouvelle législation, (à savoir la deuxième directive sur les services de paiement de l’Union européenne (PSD2), mêlé à la mise en œuvre, du « Strong Customer Authentification »), les institutions financières ont capitalisé sur les capacités d’authentification biométrique des smartphones.

L’authentification biométrique réduit la friction sur le parcours client

Au fur et à mesure que les clients se familiarisent avec les dispositifs biométriques, ils permettent de simplifier considérablement le processus d’authentification. Ce qui est un bon point pour le développement du commerce mobile.

En effet, la biométrie présente l’avantage d’être très simple d’utilisation tout en étant très sécurisée. Cela rassure les consommateurs, qui utilisent de plus en plus en confiance le paiement sur mobile, comme le souligne Johan Guilloux, Rapporteur de la commission commerce mobile de la Mobile Marketing Association France. « Plus d’un français sur deux fait confiance au paiement mobile et sur la catégorie des 18 – 24 ans, le taux grimpe à 79 % ».

58 %** des Français utilisent le paiement mobile

Bien sûr, il y a eu l’effet Covid. La crise sanitaire et l’accélération du digital dans le commerce a fait évoluer les comportements. De fait, la rapidité d’utilisation et la praticité du paiement mobile séduit les consommateurs. Ainsi, selon la Fevad, le mobile en tant qu’outil de connexion pour faire son shopping sur le net a marqué des points cette année : « l’utilisation du mobile croit de 16 points à 59 %« .

Définitivement ancré dans les habitudes de shopping, le mobile affiche un panier en progression, qui atteint les 94 euros cette année (+ 8 % par rapport à 2021, source Fevad). Dans certains secteurs, la part des ventes en ligne sur mobile dépasse même celles sur ordinateur : c’est notamment le cas dans les cosmétiques (69 % de transactions mobiles) et le prêt-à-porter (57%).

En effet, il s’agit généralement d’achats peu impliquants, qui peuvent être réalisés facilement en mobilité. À noter que les Européens privilégient aussi le mobile pour les achats auprès de DNVB (Digital Native Vertical Brands). Logique : il s’agit de marques natives digitales qui placent l’expérience client au cœur de leurs priorités. En général, sitôt mis en service, leurs sites se prêtent complètement à une navigation sur mobile.

Cofidis, partenaire des commerçants, facilite les parcours mobiles

Vous l’aurez compris, l’utilisation du paiement sur mobile est donc un standard. De fait, le mobile est devenu un vrai levier de croissance pour les e-commerçants. C’est un facilitateur de business très performant ! Dès lors, il s’avère indispensable de disposer d’un site responsive qui s’adapte à tous types d’appareils.

En clair, un site optimisé pour le mobile vous permet d’augmenter vos visites, votre conversion et votre chiffre d’affaires. C’est la raison pour laquelle les experts de Cofidis ne proposent que des solutions de paiement pensées mobile first, s’adaptant ainsi aux nouveaux usages.

Ils soulignent aussi que l’algorithme de Google tend à privilégier les sites mobile first, c’est-à-dire ceux qui sont avant tout conçus pour ces appareils. Les boutiques en ligne qui appliquent ce principe bénéficient donc d’un meilleur référencement naturel !

Ce qui montre l’intérêt du partenariat noué par Cofidis avec Lyf, qui offre un paiement mobile fragmenté, accessible en un clic ! Cette option de paiement s’intègre de manière totalement transparente dans le parcours d’achat et facilite ainsi la conversion. Testé et approuvé !

* Une étude publiée le 30 mai par le cabinet Juniper Research

** Etude Lyf, 2022